Mes chers confrères,
La grâce et la paix de Jésus soient toujours avec nous !

Depuis notre rencontre providentielle avec le Pape François en 2019, nous lui avons promis que la Petite Compagnie mettrait chaque année 1% de ses membres (soit 30 confrères) à la disposition de la mission ad Gentes. Nous avons jusqu’ici, par la grâce de Dieu, tenu notre promesse.

Je désire ardemment voir la compagnie continuer, en cette année 2023 et durant les années à venir, nous pourrons sans la moindre hésitation continuer à nous porter volontaires pour les missions ad Gentes, et ainsi continuer à donner à l’Eglise et aux Pauvres 1% des confrères. C’est là un indicateur clair de la revitalisation continue de notre identité, un nouveau printemps missionnaire, le commencement d’une nouvelle Pentecôte au sein de la Congrégation. Un des signes de notre revitalisation sera l’ouverture, année après année, de nouvelles missions dans les pays où la Petite Compagnie n’est pas encore présente : missions initiées et ouvertes par les Provinces, les Vice-Provinces et les Régions. Il s’agit aussi des missions internationales ouvertes par la Curie Générale.

Je voudrais répéter ce que j’ai partagé lors de l’appel à la mission de ces deux dernières années : notre Petite Compagnie est missionnaire par nature. Il est donc important que cet esprit missionnaire, qui caractérise notre Congrégation, soit déjà présent et insufflé aux étapes initiales de la formation afin de s’enraciner vraiment dans nos vies. A cet effet, j’aimerais saisir cette opportunité pour encourager les Provinces, les Vice-Provinces, les Régions et les autres missions à développer cet esprit missionnaire en le rendant effectif déjà dès les différentes étapes de formation, en suscitant chez nos séminaristes l’ouverture à l’appel aux missions ad Gentes, si tel est le vœu de la Providence pour eux.

J’aimerais aussi profondément remercier les nombreuses Provinces, Vice-Provinces et Régions qui sont ouvertes à encourager les confrères à partir pour la mission ad Gentes, de même que pour les missions internationales coordonnées par la Curie Générale, ou encore pour les missions coordonnées par des Provinces particulières, les Vice-provinces et les Régions.

J’aimerais spécialement inviter les Provinces, Vice-provinces et Régions ayant présentement un nombre élevé de confrères à réfléchir avec leurs Conseils et les confrères dans quels pays, où nous ne sommes pas encore présents, vous pourriez ouvrir une nouvelle mission. Vous pouvez ainsi m’envoyer vos réflexions à l’adresse segretaria@cmcuria.org afin que de voir dans quelle mesure le Conseil Général pourrait vous accompagner dans l’ouverture la nouvelle mission ad Gentes.

Comme chaque année, j’aimerais inviter les confrères qui ressentent l’appel à servir en missions ad Gentes à se manifester comme des collaborateurs dont Jésus a ardemment besoin pour l’annonce de la Bonne Nouvelle jusqu’aux extrémités de la terre. Ceci pourrait se faire au sein des missions internationales, des Régions, ou des maisons coordonnées par la Curie Générale ; ou encore au sein des missions directement initiées par les Provinces, les Vice-provinces, et les Régions. Si, après prière et discernement, et aussi échange avec votre Visiteur, vous désirez vous porter volontaires pour aller vers une de nos nombreuses missions qui sont dans le besoin à travers le monde, ou alors faire partie de l’ouverture de nouvelles missions dans les pays où nous ne sommes pas encore présents, bien vouloir m’écrire à l’adresse suivante : segretaria@cmcuria.org.

Chers confrères, plus tôt vous écrirez, plus tôt nous échangerons sur votre lettre au Conseil Général, et plus tôt nous pourrons répondre aux multiples appels missionnaires que nous recevons. Comme je l’ai déjà mentionné dans mes lettres précédentes, si vous ressentez l’appel pour les missions ad Gentes mais que nous ne pouvez pas vous rendre disponibles dans l’immédiat en raison de vos occupations actuelles, vous pouvez exprimer votre désir en précisant que vous serez disponibles dans un an ou deux.

J’ai la joie de vous annoncer l’ouverture certaine des prochaines missions ad Gentes pour l’année 2024 : en Ouganda par la Vice-province du Kenya ; au Congo-Brazzaville, au Togo et dans le Nord de la République démocratique du Congo dans la ville de Goma par la Province du Congo ; au Pakistan par la Province du Vietnam.

L’ouverture de quelques autres missions est en cours de réflexion. En plus de cela, certaines Missions Internationales sont déjà accompagnées, presque prises en charge de façon effective, par des Provinces ou des Vice-provinces, tout en espérant leur complète intégration à ces Provinces ou Vice-Provinces dans un futur très proche.

Voici quelles sont, pour l’instant, les missions qui demandent une attention particulière et des volontaires.

ALASKA 

La mission en Alaska ne dépend plus de la Curie Générale, mais plutôt de la Province de l’Ouest des USA. Elle est toujours dans le besoin de missionnaires supplémentaires en provenance d’autres pays. Etant donné que la mission s’occupe des populations d’expression anglaise et espagnole, il y a besoin de missionnaires habiles dans ces langues-là. Voici d’autres aptitudes requises pour la mission en Alaska : pouvoir conduire un véhicule, de fortes aptitudes pastorales, et une grande capacité d’adaptation aux extrêmes conditions climatiques.

BOLIVIE

La mission en Bolivie a deux centres missionnaires majeurs :

  1. La paroisse Notre Dame de Guadalupe, à Huayllani, Cochabamba, avec un vaste territoire dans trois différentes zones : une partie urbaine, une partie rurale, et les Hauts Plateaux avec une assez grande population. Nous souhaitons accroître le nombre de missionnaires afin de développer cette mission ainsi que la présence de la CM en Bolivie.
  2. La mission de Beni: dans la ville de Trinidad et la région des rivières, territoires habités par des divers groupes ethniques indigènes. Les besoins pastoraux sont urgents parce que c’est une zone en permanente colonisation. C’est une mission très difficile, pas seulement en raison du climat (tropical), mais aussi en raison des distances et des situations dans lesquelles les communautés se trouvent, territoires très enclavés en pleine forêt tropicale.

Dans cette Mission nous espérons beaucoup de la promotion vocationnelle que nous y avons développée. Que nous le Seigneur nous fasse la grâce de nouvelles et saintes vocations. Le service des vocations est conjointement assuré par les Filles de la Charité et les différentes branches de la Famille Vincentienne, qui sont aussi en croissance numérique. Le nombre des missionnaires est limité par rapport aux besoins pastoraux qui naissent chaque jour dans différentes zones.

TCHAD

Nous avons actuellement besoin de confrères pour deux missions au Tchad :

  1. Tchad Belabalem: il nous faut un missionnaire pour le travail pastoral dans les paroisses et les écoles. Les langues parlées sont le français et la langue locale.
  2. Tchad-Koundoul: il nous faut un missionnaire pour le travail pastoral dans les paroisses et au petit séminaire. Les langues parler sont le français et la langue locale.

CAMEROUN 

Cameroun-Batoke : Il y a un besoin pastoral en paroisse et aussi le souci de vivre l’internationalité et l’interculturalité. Les langues parlées sont le Français et l’Anglais.

COSTA RICA

Talamanca est le plus important territoire indigène du Costa Rica. C’est une zone située au Sud du pays, sur la côte Atlantique. Depuis ses origines, cette mission a été sous la responsabilité de la Congrégation de la Mission. Les services missionnaires font face à deux réalités : la vie paroissiale, qui consiste à desservir mensuellement 36 communautés situées à des endroits difficiles d’accès (navigation fluviale, motocyclette, ou marche à pied) ; et aussi la mission ad Gentes, où il faut près de cinq jours de marche à pied à travers les montagnes pour visiter des centaines de personnes vivant dans des conditions misérables. Les langues indigènes sont le Bribi et le Cabécar, mais dans la plupart des communautés il est possible de communiquer en Espagnol.

PAPOUASIE NOUVELLE GUINEE

La Papouasie Nouvelle Guinée (PNG) est considérée comme un pays chrétien, avec une population d’environ huit millions d’habitants. On y compte près de 30% de Catholiques. L’Eglise en PNG est relativement jeune et a besoin du soutien des missionnaires pour se développer et grandir. Notre mission y a commencé en 2001.

  1. En plus des confrères actuellement en service en PNG, la mission a besoin d’un confrère qui pourrait servir au Séminaire Holy Spirit; de préférence un confrère avec une certaine expérience en formation. Il pourra être le deuxième Directeur Spirituel, enseigner à l’Institut Catholique de Théologie (c’est une possibilité mais pas une nécessité), et il pourra aussi être en charge de la discipline ou de la formation liturgique. Le nombre croissant des séminaristes dicte l’urgence de cet appel missionnaire (de 52 l’an dernier à 82 cette année).
  2. Monseigneur Rolando Santos, CM, Ordinaire du Diocèse d’Alotau-Sideia, sollicite aussi deux confrères qui pourraient aider pour les missions populaires et former les jeunes à devenir des volontaires missionnaires, aider dans la formation des laïques, et organiser les différentes branches laïques de la Famille vincentienne : c’est-à-dire les enfants de Marie, la Jeunesse Mariale Vincentienne, la Société de Saint Vincent Paul, et aider aussi dans des paroisses dépourvues de prêtres.
  3. Monseigneur Siby Mathew Peedikayil du Diocèse de Aitape à lui aussi écrit une lettre d’appel missionnaire demandant deux prêtres pour son diocèse. Le diocèse a 27 paroisses et 5 quasi paroisses. Il compte aussi d’autres structures pastorales, éducatives et sanitaires. « La population catholique est d’environ 166.000 (soit près de 75% de la population). Les prêtres diocésains et religieux tous ensemble ne sont que 14 encore en activités. Bien que les populations soient pauvres du point de vue du développement et en matière de sécurité financière, elles sont riches d’une grande foi. Notre peuple a soif de la Parole de Dieu et des Sacrements. Si nos populations ne sont pas nourries de la Parole et des Sacrements, et fortifiées dans leur foi chrétienne catholique, le risque est grand de voir plusieurs abandonner l’Eglise et rejoindre les autres confessions chrétiennes ou d’autres groupes cultuels. » (Extrait de la Lettre de l’évêque d’Aitape).

Les confrères volontaires à cette mission devraient avoir une bonne connaissance de l’Anglais et se préparer à apprendre la langue locale et vivre en immersion dans la culture du peuple.

ANGOLA

Présentement nous avons trois confrères en service dans la mission de Lombe. La Vice-province du Mozambique a commencé à accompagner cette mission qui est très grande et pauvre. La présence d’autres membres de la Famille Vincentienne tels, les Filles de la Charité et MISEVI, rendant des services dans plusieurs secteurs et dans plusieurs zones nous donne plus de raison de ne nous engager à faire tout notre possible pour porter en avant le développement de cette mission, et essayer de répondre plus encore aux attentes de l’évêque local qui voudrait ouvrir plus centres missionnaires. Cette mission a besoin de plus de missionnaires. L’Angola est un pays catholique lusophone avec un grand éveil des vocations locales.

CUBA

La Région de Cuba fait de gros efforts sur le champ du ministère de la promotion vocationnelle, avec le désir d’accroître le nombre de vocations locales, d’améliorer la qualité de leur formation, et de consolider leur stabilité dans la Congrégation, en faisant grandir leur sensibilité au ministère d’évangélisation des pauvres. C’est pourquoi il est urgent pour nous de pourvoir cette mission en missionnaires qui sont prêts à travailler de façon plus directe en formation. Nous pouvons dire que la Région de Cuba se porte très bien et cela nous remplit de joie et nourrit notre espérance. La langue parlée est l’Espagnol.

HONDURAS

Bien que trois Provinces différentes soient engagées dans le travail missionnaire au Honduras, nous continuons de prier le Seigneur d’y envoyer des ouvriers. La Province Saint Vincent de Paul d’Espagne a des missions à La Mosquitia, à San Pedro de Sula, et à Tegucigalpa. La Province de Slovaquie a une mission à Sangrelaya, qui est un ensemble de petites îles situées entre la mer, les eaux des lagons et des fleuves. La Province de Saragosse a les missions de Cuyamel et Puerto Cortés. Nous sommes particulièrement préoccupés par la mission de La Mosquitia. Le diocèse est pauvre en ressources et en personnel.  C’est un très vaste territoire, difficile d’accès, plusieurs endroits ne sont accessibles qu’en avion ou en bateau, en raison du terrain inhospitalier. Aider dans cette région peut être une magnifique expérience missionnaire, mais par-dessus tout cela un authentique geste de charité, de fraternité et de dévouement. La langue parlée est l’Espagnol.

GUATEMALA

La Province de l’Amérique Centrale a accordé une attention pastorale significative durant plusieurs années à la Mission de Sayaxché, dans un territoire indigène composé de différents groupes ethniques de culture Mayan et ramifications dialectales. Actuellement deux missionnaires assurent l’animation pastorale des communautés, mais malgré leur zèle apostolique, leur présence est insuffisante.

Ce n’est pas une mission facile. La région du Petén est une zone de jungle où l’accès aux villes et aux communautés de l’intérieur est difficile, en particulier lorsqu’il pleut. Au moins deux missionnaires encore devraient y être envoyés pour soutenir cette mission et ce travail vincentien. La langue parlée est l’Espagnol.

ARGENTINA

Le nombre des membres de cette Province ne permet pas un bon développement missionnaire tel que prévu. Le projet de former une équipe missionnaire pour les missions paroissiales s’est arrêté, non pas seulement en raison de la pandémie, mais aussi à cause du manque de personnel. La Province collabore avec les missionnaires selon les différents besoins de la Congrégation, et pourtant elle a osé ouvrir une nouvelle communauté en une région très pauvre et de grande nécessité au Paraguay. La Province a besoin de quelques missionnaires pour renforcer certains ministères qui ont été affectés par l’ouverture de la nouvelle mission. C’est une bonne opportunité de vivre concrètement l’internationalité qu’implique notre esprit missionnaire. La langue parlée est l’Espagnol.

VICE-PROVINCE DU MOZAMBIQUE

Cette mission a besoin de quatre missionnaires, deux formateurs : un Formateur pour la Propédeutique et un autre pour la maison de formation des séminaristes en Philosophie et en Théologie.

Deux missionnaires seront affectés aux missions dans les zones de précarités, aux périphéries avec les personnes vulnérables et abandonnées.

Le Portugais est la langue parlée au Mozambique.

VICE-PROVINCE DES SAINTS CYRIL ET METHODES – RUSSIE

La mission dans les montagnes d’Ural dans la ville de Nizhny Tagil a grandement besoin de missionnaires qui peuvent obtenir le visa pour la Russie. Le travail y est très lent. Il s’agit beaucoup plus de garantir les célébrations eucharistiques les dimanches dans trois petites paroisses situées à 350 km de route. Il y a aussi une collaboration avec les Filles de la Charité, l’Association de la Médaille Miraculeuse, et d’autres groupes inspirés du Charisme Vincentien. Avant de commencer le service, les confrères pourront suivre un cours intensif de langue russe, qui est la langue du ministère, en Russie même.

PAYS-BAS

La communauté de Panningen initie une nouvelle mission ; l’objectif est de maintenir en éveil le charisme de Saint Vincent de Paul et la présence des Vincentiens dans le contexte actuel des Pays-Bas. Cette nouvelle mission est ouverte à d’éventuels nouveaux ministères dans la prise en compte permanente du contexte actuel du pays mais surtout en fidélité au Charisme vincentien. Un nouveau projet missionnaire a été élaboré par la communauté de Panningen pour développer certains ministères à savoir : a) formation de prêtres et laïcs afin d’affronter les défis de l’évangélisation dans le contexte d’une société sécularisée ; b) une créativité pastorale au sein de l’Eglise locale offrant une attention particulière aux migrants et aux paroisses. C’est pourquoi il y a besoin de deux confrères (pour l’instant) pour commencer cette mission. Les confrères devraient avoir les aptitudes suivantes : a) au moins cinq ans d’ordination sacerdotale ; b) une bonne maîtrise de la langue néerlandaise ; c) volonté à vivre dans une communauté internationale ; d) être ouvert d’esprit et s’adapter aux réalités des cultures sécularisées ; e) créativité pour les ministères (formation des laïcs, ministères sur l’espace virtuel, l’animation liturgique, le travail pastoral, le service des pauvres, etc.)

Les deux confrères éventuels volontaires à cette mission recevront tout ce dont ils auront besoin pour préparer cette mission, y compris les cours de langue.

ETHIOPIE – SUD SOUDAN

La Province d’Ethiopie a besoin de deux missionnaires.

  1. Un confrère pour l’ouverture d’une nouvelle mission ad Gentes au Sud Soudan. Le Supérieur Général nous a demandé d’ouvrir une mission au Sud Soudan, mais en raison du manque de personnel nous ne sommes pas capables de l’accomplir pour l’instant. Nous sommes donc en recherche d’un missionnaire s’exprimant parfaitement en Anglais.
  2. Notre Province est en manque d’un confrère capable de rédiger des projets. Nous avons besoin d’un confrère en même de nous aider dans ce domaine. La langue est l’Anglais. Le confrère vivra à Addis Abeba.

MADAGASCAR

La Province de Madagascar est aussi prête à accueillir des missionnaires.

Manantenina : paroisse et quelques brousses.
Ranomafana : paroisse et quelques brousses.
Séminaire : Professeur (philosophie, théologie).

Nous y avons même une mission ad Gentes, et nous sommes prêts à envoyer des missionnaires partout où il faudra. Nous sommes aussi soucieux de préserver l’internationalité de la Province de Madagascar. La Malgache et le Français sont les langues parlées.

MEXIQUE

La Province du Mexique a besoin d’un ou de deux missionnaires, particulièrement dans la vaste région de Sierra Tarahumara où travaillent déjà deux confrères. Cette unité paroissiale est composée de 105 communautés au Nord du Mexique. C’est une zone montagneuse, très productive en bois avec par conséquent une forte présence d’exploitants forestiers et miniers, et des problèmes de trafic de drogue. Elle est située à 2200m par rapport au niveau de la mer. D’une grande précarité et un besoin urgent d’évangélisation, cette région a l’indice de scolarisation et de sécurité social le plus bas à l’échelle national.

Le profil missionnaire d’éventuels volontaires pour cette mission est le suivant : un esprit d’amour et de dévouement à un projet de la Congrégation dans lequel on est engagé ; une santé stable et une constitution physique solide parce qu’il s’agit de vivre en altitude, avec des soins de santé basiques et réduits au strict minimum, et les voies d’accès aux communautés ne sont pas des plus bonnes ; une foi nourrie par une prière sincère et une rencontre authentique avec des populations vivant leur expérience de foi ; la capacité à développer et à structurer des projets qui permettent de répondre aux différents problèmes de la région; capacité à dialoguer respectueusement avec les personnes vers qui on est envoyé.

TANZANIE

C’est au séminaire qu’il y a besoin d’un appui missionnaire pour servir comme Directeurs Spirituels.

Nous avons besoin de deux missionnaires s’exprimant parfaitement en Anglais et âgés d’au moins 45 ans. Un servira comme Directeur Spirituel au Petit Séminaire, et l’autre au Grand Séminaire ou au Séminaire Interne comme Directeur Spirituel.

CONGO

La Province du Congo entend ouvrir de nouvelles missions dans notre pays et ailleurs, en réponse à l’appel du Supérieur Général à revitaliser le charisme vincentien et à travailler à son expansion. Toutefois, le nombre de confrères reste très limité. Fort de cela, nous avons besoin de deux missionnaires pour combler les besoins actuels en personnel. Le français est la langue parlée dans les deux localités missionnaires.

  1. Un confrère prêtre comme accompagnateur spirituel au Séminaire Interne à Bikoro dans la Province de l’Equateur, avec au moins 17 jeunes en formation.
  2. Un deuxième confrère au Congo Brazzaville, plus précisément dans l’Archidiocèse de Brazzaville, qui est une nouvelle mission focalisée sur l’éducation des jeunes et le ministère paroissial, avec deux autres confrères.

Que Notre Dame de la Médaille Miraculeuse, Saint Vincent de Paul et tous les Saints, Bienheureux et Serviteurs de Dieu de la Congrégation de la Mission, ainsi que de toute la Famille Vincentienne, intercèdent pour nous !

Votre frère en Saint Vincent,
Tomaž Mavrič, CM
Supérieur général